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Actualité
L'iPad et les conséquences sur la plateforme Flash
Dimanche, 14 Février 2010 14:43

iPadApple répondant à la rumeur a enfin annoncé sa tablette, l'objet peut se résumer en un iPod Touch qui aurait pris quelques hormones de croissance et beaucoup sont déçus. Au final, parmi les principaux défauts que l'on reproche au produit on retrouve beaucoup de ce que ses détracteurs reprochaient à l'iPhone :

  • Absence de possibilité d'exécution de deux applications en parallèle (multi-tasking) ;
  • Absence de lecteur Flash et donc un web "réduit" ;
  • Absence d'appareil photo ;
  • Absence de standard (pas d'USB par exemple).

En définitive, il est difficile de parier sur le succès de la plateforme bien que de nombreux développeurs se soient déjà engagés dans le développement d'application pour iPad... La tablette trouvera-t-elle néanmoins son marché, c'est difficile à dire tant on a du mal à dire s'il s'agit d'un lecteur de film portable, d'une console de jeux ou d'un concurrent sérieux pour les netbooks.

Autre inconnue de taille, la question de la plateforme Flash, où Apple fait la fine bouche et attend beaucoup du HTML 5 qui supprimerait l'obligation Flash pour la diffusion vidéo. Néanmoins Flash ne se limite pas à des lecteurs vidéo et avec Flex, c'est le support d'une valeur sûre des applications web à travers ce qu'elle apporte comme avantage en :

  • Interopérabilité à travers les systèmes d'exploitation et les navigateurs ;
  • Architecture logicielle avec un langage bien plus évolué et structurant que ne l'est le Javascript.
Nous suivons l'affaire avec attention mais il est fort probable qu'Apple, au-delà des problèmes avancés, n'ait pas intérêt à voir Flash apparaitre sur ses périphériques. Ce serait une opportunité de réaliser des applications en dehors de l'App Store et donc une opportunité de contourner son rôle actuellement essentiel dans la distribution.
 
Le manque de contrôle joue contre Android
Samedi, 16 Janvier 2010 00:00

Le problème qui avait émergé sur les iPhones jail-breakés apparait à présent sur les périphériques Android. A savoir qu'à force d'avoir un appareil de plus en plus proche d'un ordinateur, on finit par y retrouver un des problèmes informatiques les plus critiques : la sécurité.

Le plus dérangeant dans l'affaire n'est pas vraiment l'apparition de ces problématiques, mais plustôt que la première menace qui ai fait surface soit venue du système de distribution d'applications d'Android : Android Market. A la différence de ce que fait Apple, la soumission d'une application sur l'Android Market ne passe pas par un processus de validation.

Ce qui résulte de cela est une qualité moindre des applications présentées aux utilisateurs. On peut supposer que ceci est préjudiciable car au final c'est la confiance des utilisateurs qui est ébranlée : que ce soit à travers des bugs ou des problèmes de sécurité, et ceci ne contribuera pas à améliorer la quantité d'applications payantes distribuées rapporté sur la quantité totale d'applications téléchargées.

Certes Android est un système plus ouvert, mais cela ne limite pas les droits que devraient se réserver les distributeurs pour valider le contenu qu'ils hébergent.

Information : 01Net

 
Les smartphones qui comptent
Jeudi, 26 Novembre 2009 15:48

Tous les acteurs du monde de l'applicatif mobile devraient s'intéresser à la publication de données chiffrées qu'effectue régulièrement le leader de la publicité pour mobile AdMob concernant le trafic internet mobile.

Nous sommes souvent amenés à nous interroger sur la pertinence des développements que nous faisons d'une plateforme à l'autre. Toutes les plateformes nécessitant des développements spécifiques, doit-on porter notre application sur telle ou telle plateforme ? Le jeu en vaut-il la chandelle ?

Les statistiques en matière d'utilisation d'internet font plus sens pour assurer un parallèle avec le monde de l'applicatif que les parts de marché des périphériques eux-mêmes. Tous les utilisateurs n'exploitant pas leur mobile dans tous ses aspects, ceux qui l'utilisent pour internet ont intégré le fait qu'il est devenu plus qu'un téléphone.

La lecture de cette étude nous fait regretter l'absence de chiffres détaillés sur l'Europe de l'Ouest et la France. Néanmoins le marché américain montre deux points intéressants :

  • La percée du Droid de Motorola, smartphone utilisant Android qui après quelques semaines de commercialisation s'est déjà fait une place confortable ;
  • La part de marché des périphériques Android qui supplantent les Blackberry (en terme d'impression de publicité pour ces périphériques), si on cumule avec la part des utilisateurs d'iPhone/iPod (55%) et celle des utilisateurs d'Android (20%), on couvre 75 % des utilisations. On recensera derrière ces plateformes, RIM (Blackberry) avec 12 % puis des acteurs avec des parts de marchés très marginales (inférieures à 6 %).
Retrouvez les chiffres d'AdMob sur metrics.admob.com
 
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